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Mouvement Anti Ahmadiyya en Islam

.

LES ECRITS SONT REVELATEURS.

L’Autobiographie de Mirza Ghulam

L’Age tendre de Mirza Ghulam Qadiani.

« Ma naissance a eu lieu en 1839 ou en 1840 AD. J’étais l’un de deux jumeaux, dont la

jumelle portait le nom de Jannat (Paradis). Dans ma révélation « Ya Adam Uskun antaa

wa Zaujuka al-jannah » qui était mentionnée dans « Braheen Ahmadiyya à la page 496

plus de 20 ans auparavant, le mot « jannat » avait ce sens particulier si bien que cette fille

devrait naître avec moi. Malheureusement, elle ne vécu que 7 mois ». (Tiryaq-ul-Qullob,

Roohani Khazain vol 15.p 479 par Mirza Ghulam Qadiani)

« Mon père, Mirza Ghulam Murtuza, était un fameux propriétaire terrien. Durant mon

enfance, mon éducation avait suivi ce parcours. Lorsque j’avais 6-7 ans où un instituteur

perse était employé pour m’enseigner le Qur’an et quelques livres en perse. Il s’appelait

Farzl Ilahi. Lorsque j’atteignis l’âge de 10 ans, Molvi un enseignant arabe du nom de Fazl

Ahmad était engagé pour mon éducation.

A l’âge de 17-18 ans, j’avais eu la chance d’être enseigné par mon père qui m’a appris la

grammaire, la logique et le hikmat (la médecine). Il payait pour moi les livres sur la

médecine. A cause de ma santé, mon père avait l’habitude de me dissuader de trop lire.

« Concernant les villages expropriés par le Gouvernement britannique, mon père avait

porté plainte pour les récupérer. J’étais désigné pour m’en occuper bien que c’était une

contrainte pour moi de m’occuper de ces questions foncières. Durant ces jours, j’étais

employé comme secrétaire depuis quelques années par le Gouvernement britannique à

la cours de Sialkot. Mon salaire était de 15Rs par mois.

« Plus tard, j’ai démissionné pour m’intéresser de la gestion des questions foncières.

Assez souvent, je réfléchissais sur la signification du Qur’an (Tasfeer). A l’âge de 30-35

ans, mon père mourait alors que j’étais à Lahore en ce moment. Après la mort de mon

père, des séries de conversations régulières avec Dieu (Mukalimat-e llahiah)

commencèrent ».

(Kitab-ul-Bariayh pp.134-136, Summary of commentary on margins, par Mirza Ghulam

Ahmad Qadiani. Roohani Khazain vol 13 p.180; TUZUK-E-AHMADI écrivit dans AKHBARAL-

HAKAM QADIAN, spécial vol 37 n° 18519 du 21-28 mai 1934 AD)

Mirza disparaît avec la pension.

« Bismillah-ar-Rahman ar-Rahim. Hazrat Waalida Sahiba (Respectée Mère c’est-à- dire la

femme de Mirza Ghulam) racontez-moi qu’une fois lors de votre jeunesse, alors que

Hazrat Maseeh Mowood était parti retirer la pension de votre grand-père, en compagnie

de Mirza Imandeen (le cousin de Mirza Ghulam). De connivence ou par tromperie, il mena

Mirza hors de Qadian. Dès qu’il eût dépensé toute la somme, il l’abandonna et s’en alla.

Hazrat Maseeh Mowood n’était pas rentré à la maison suite à la honte. Depuis, votre

grand-père commença à chercher de l’emploi pour lui. Il le fit engagé à la cour du

commissaire adjoint de la ville de Sialkot avec un maigre salaire ». (Seeratul Mahdi 1er

partie, p.41 par Mirza Basheer Ahmad, fils de Mirza Ghulam).

LE DECLIN DE LA FAMILLE

« Mon père, Mirza Ghulam Murtuza, avait l’habitude de s’asseoir sur la chaise du

Gouverneur de Darbar. Il était un fervent partisan du Gouvernement Britannique.

Courageux de coeur, lors de la mutinerie de 1857 AD, il avait aidé le Majestueux

Gouvernement au-delà de ses moyens, en payant de sa poche 50 chevaux et en mettant

à sa disposition 50 mercenaires. La gloire de notre rang déclinait jour après jours à tel

point que la position de notre famille était d’un niveau bas pour des propriétaires

terriens ». (Tohfa-e-Qaiser, Roohani Khazain vol 12 p.270-271).

« La Grande Bretagne avait expropriée la terre appartenant à notre famille et avait fixé la

pension honoraire de 700Rs par an sous. Elle fut ramenée à 180Rs à la mort de mon

grand-père pour enfin être complètement arrêtée après la mort de mon oncle ». (Seeratul-

Mahdi, 1re partie p.41 par Mirza Basheer Ahmad, fils Mirza Ghulam Ahmad Qadiani).

LES MALADIES DU PROMIS (AINSI APPELE)

« Il (Mirza Ghulam Ahmad Qadiani) souffrait de la carie dentaire à une molaire qui lui

causait occasionnellement des douleurs, et enfin elle provoqua un ulcère sur sa langue,

finalement la dent fut enlevée ».

(Seerat-ul-Mahdi, 2e partie p. 135 par Mirza Basheer Ahmad, fils Mirza Ghulam Ahmad

Qadiani).

« Une fois, il tomba du haut de la fenêtre et se blessa au bras gauche qui est resté faible

jusqu’à la fin de ses jours ». (Seerat-ul-Mahdi, 2e partie p. 198).

IMPUISSANCE

« Ce vieillard, son cerveau est devenu faible depuis son mariage. Je croyais que

j’étais impuissant ». (Lettre de Mirza Ghulam Ahmad Qadiani du 22/2/1887 publiée dans

Maktoobate Ahmadiyya vol 5, p. 14 tirée de Navishata-e-Ghaib par Khalid Wazirabadi).

« Lors de mon mariage, mon coeur et mon cerveau étaient très faibles et j’ai souffert

de ces maladies durant une période assez longue parce que j’avais la tristesse, la

dépression et la faiblesse sexuelle ».

(Tiryaq-ul-Quloob Roohani Khazain vol 15 p 203 par Mirza Ghulam Ahmad Qadiani).

S’adressant à Hakeem Nooruddin, Mirza écrit :

« J’ai connu une amélioration sensible avec vos remèdes. Quelques maladies

comme la léthargie et le problème de l’acide gastrique ont été soignées. J’avais un

très sérieux problème de l’érection lors des rapports dû au manque de l’énergie

sexuelle. Grâce à vos remèdes, j’ai retrouvé ma puissance sexuelle ».

(MAKTOOBAT-E-AHMADIYYA, vol 5, n°2. Collection of letters par Mirza Ghulam Ahmad

Qadiani).

« La révélation m’était faite concernant mon mariage. En ce moment, mon coeur et

mon cerveau étaient faibles. A côté du diabète, j’ai des séquelles au niveau de la

tête et de la dépression du coeur, je souffre aussi de la tuberculose ».

(Nuzool-e-Masee, Roohani Khazain vol 18 p. 587 notes en bas de page par Mirza

Ghulam Ahmad Qadiani).

« (Mirza Ghulam Ahmad Qadiani) jeûnait peu durant le Ramadân et la rédemption était

faite. Suite à la souffrance lors d’une crise, il lui arrivait de rompre le jeûne exactement au

coucher du soleil ». « Il avait des crises très fréquentes et sa santé était généralement

fragile ». (Seerat-ul-Mahdi, 1re partie p. 51 par Mirza Basheer Ahmad fils Mirza Ghulam

Ahmad Qadiani).

« Hazrat Saheb avait une mélancolie chronique héréditaire. (Mirza Saheb ne pouvait

pas supporter la charge de la prophétie !! - L’auteur)

Mirza Saheb avait un oncle (maternel) dont le nom était Mirza Jamiat Baig qui avait

un garçon et une fille. Les deux souffraient des maladies mentales. Le garçon

s’appellait Mirza Saheb Ali et la fille, Hurmat Bibi. Cette dernière s’est mariée à

Hazrat Saheb ». (Mirza and Hurmat Bibi- tous touchés mentalement !!! Fut un grand

amusement !!! Et les enfants issus ? On peut s’imaginer- l’auteur). (Seerat-ul-Mahdi, 2e

partie p. 51)

LA MELANCOLIE DANS L’ANCIENNE LITTERATURE MEDICALE

La dépression fait probablement partie de la condition humaine depuis que l’homme vit sur

terre. Même les anciens manuscrits parlent de ses descriptions. Les premiers écrivains

reconnaissent que certains cas ont été traités, il y a 2.000 à 4.000 ans. Dans la littérature

grecque la dépression est décrite comme étant divinement inspirée. Déjà 2300 ans

auparavant, Hippocrate parlait des problèmes psychiatriques dont l’origine est la cause

naturelle ainsi que le caractère capricieux super naturel. La terminologie des problèmes

psychiatriques reste d’usage jusqu’à ces jours :

L’épilepsie, la manie ou la folie ; la mélancolie et la paranoïa. Hippocrate décrit une femme

mélancolique qui souffrait du manque de sommeil, de l’aversion pour la nourriture, de la

soif et de la nausée. Cet ancien catalogue des symptômes mélancoliques parle de la

description moderne de la dépression.

Durant l’ère romaine, le Docteur Galen a écrit sur la dépression. En parlant de l’état

mélancolique, Galen dit que certains patients montrent une crainte, une dépression, du

mécontentement de la vie et une haine envers les autres. Il supposa que les fonctions

dans le cerveau étaient directement affectées lors d’une crise de mélancolie. Dans ses

descriptions encyclopédiques, Galen inclut le tempérament et l’humeur.

Le livre de Robert Burton, « Anatomy of Melancholia » publié en 1630, résume ce qui était

connu en ces temps comme dépression. Il décrit la mélancolie comme « une maladie

touchant la tête ou l’esprit » fréquemment associée au chagrin et à la douleur. Burton

trace la voie pour la compréhension scientifique future de la dépression en cataloguant les

causes et les effets psychologiques comme la honte, le déshonneur, la colère, l’égoïsme

et l’embarras.

La dernière contribution significative pour mieux comprendre la description de la

dépression était faite par Freud dans son livre, « Mourning and Melancholia » publié en

1917. Freud écrit que la mélancolie est une régression de l’objet de choix, vers un monde

primitif en rapport avec l’objet. Sa description de « dépression illusionniste » insiste sur le

mépris de soi à la place de la colère. Il croyait que les malades de la dépression se

tourmentent impitoyablement lorsque la cause est une autre personne.

Comme par exemple la perte du partenaire sexuel. On peut imaginer aujourd’hui ce qui

s’était produit chez Mirza. Si seulement Freud aurait eu l’opportunité d’étudier son cas.

Les études sur la dépression ont été faites, il y a plus de mille ans. Premièrement par les

poètes et les philosophes et récemment par les médecins. Aujourd’hui, nous sommes

dans l’ère où l’étude des maladies est devenue facile grâce à des recherches sur les plans

cliniques et scientifiques.

« Selon le système grec et du Hikmat, cette maladie se produit suite à l’ac*****ulation des

acides sous forme de matériaux dans l’estomac. Dans tout organe où ces matériaux se

trouvent, une vapeur noire se dégage et monte vers le cerveau. Les symptômes sont : une

éructation piquante, une anoxie suite aux faiblesses au niveau de l’estomac, une digestion

perturbée, une dilatation abdominale, une sensation des vapeurs montant à l’intérieur. (La

révélation et l’inspiration de Mirza seraient-elles le résultat de ces vapeurs ?) (Guide to

the causes and symptoms of Melancholia par Allama Burhanuddin Nafees).

“On pensait que les symptômes de cette maladie (mélancolie) sont causées par

l’impuissance sexuelle. Mais, la recherche récente a montré que c’est une maladie

mentale à l’instar de l’hystérie chez les femmes. La faiblesse des organes internes conduit

à celle de l’esprit qui occasionne la mélancolie chez les hommes. Les symptômes : Le

patient est souvent apathique, peureux pensant toujours sur lui-même, exagérant toute

chose, anorexique et avec une lente digestion. (Makhzan-e-Hikmat, par Hakeem Dr.

Ghulam Jeelani).

« Digestion lente, éructation piquante, dilatation abdominale, sensation de brûlure dans

l’estomac, anorexie, sensation de vapeur montant au niveau de la tête. Ces symptômes

disparaissant avec l’amélioration de la digestion suivie de l’aggravation de l’indigestion, les

tremblements de la partie supérieure du corps, les bras et les pieds et le corps devient

frais. A ce stade, le patient s’affaiblit, occasionnellement voyant les éclats de lumière, les

paupières deviennent lourdes, sentant la chaleur et les brûlures au niveau de la tête et du

cerveau, les céphalées, tels sont les symptômes de la mélancolie ». (Akseer-e-azam, vol

1 p.189 par Hakeem Mohammad Azam Khan).

Vous venez de lire ci-dessus les manifestations de cette maladie. Je demande à chacun

de nous, sain d’esprit, d’examiner les prétentions d’inspiration, de révélation et de

conversation avec Dieu comme des divagations d’une personne dérangée. Dissociezvous

de ce mélancolique, soi-disant prophète ainsi vous deviendrez des Musulmans.

Abandonnez cette malédiction et cette incroyance, devenez des croyants et des fidèles du

Prophète Muhammad (pssl).

Le Prophète (pssl) a dit :

« Dans ma communauté naîtront 30 imposteurs et chacun d’eux dira qu’il est Prophète de

Dieu ». Il revient à vous de juger dans quelle catégorie cet homme appartenait.

Voyons ce que les autres intellectuels et Hakeems disent sur la mélancolie.

AVICENNES (ABU ALI SENA) a dit :

« La mélancolie est une maladie qui fait que les idées ainsi que les pensées anormales

jaillissent. Sa cause est l’extrême tristesse qui fait que l’esprit devienne dérangé tandis

que le patient est très bouleversé par l’obscurité. Ou autrement cette maladie est causée

par beaucoup plus de chaleur au niveau du foie. On l’appelle l’hypochondrie. Lorsque les

déchets de la nourriture et du gaz mélangés dans les intestins produisent de la substance

noirâtre et ainsi les vapeurs qui s’en échappent, montent au cerveau. Cette forme

s’appelle la mélancolie gazeuse ».

(Canon in medicine, Fun-e-Awwal tiré du livre 3 Abu Ali Sena (Avicennes).

Traitement : Il est nécessaire pour le patient souffrant de la mélancolie de s’occuper d’un

travail qui garde son coeur satisfait en s’entourant des gens qui lui respectent et le rendent

heureux. Une petite quantité de vin mélangée avec de l’eau doit lui être administrée avec

modération. (Canon in medicine par Avicenia)

Note : Mirza Ghulam Ahmad Qadiani prenait du vin tonic (fortifiant) et fumait de

l’opium pour la même raison.

« La mélancolie est le changement des pensées dû à la peur et à la maladie. Chez

certains patients cette maladie progresse si rapidement jusqu’à ce que le patient pense

qu’il peut parler des choses cachées ou à venir. Enfin, elle atteint le stade où le patient se

considère comme un ange ». (Guide to the Aetrology and Manifestations of disease ofالصفحات [1] [ 2]

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تاريخ الاضافة: 26-11-2009

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